S’interroger sur notre rapport aux médias et à l’information en faisant un pas de côté. This is the program of the International Journalism Festival, organized by the Le Monde group (the world, international courierYou huffpost, telerama et the way) etc Obsqui s’est ouvert vendredi 14 juillet et se déroulera jusqu’au 16 juillet dans le village de Couthures-sur-Garonne (Lot-et-Garonne). « Le rugby at-il perdu son âme ? » : the question to été choisie, «deliberately provocative», to ignite the debate between information professionals and festival-goers, confides Clément Martel, journalist au worldwho animated the debates au côté of Richard Sénéjoux, from telerama.
A deux mois de la Coupe du monde de rugby, qui aura lieu en France du 8 septembre au 28 octobre, quoi de plus logic que de s’échauffer tranquilmente en réfléchissant à un sport qui s’es longempos démarqué du football, mais qui est I entered on a tour in a logic of spectacularity. Alors que certains matches auront lieu à Toulouse et à Bordeaux, les deux métropoles les plus proches de Couthures, le sport au ballon ovale figure parmi les sept thèmes qui structurent le program du festival, aux côtés de la fatigue informationnelle, la place du service public In the media landscape, the climate stimulus, the war in Ukraine, or the encore the psychological consequences of the Covid-19 pandemic.
The première table ronde of the après-midi sur le rugby, « The Top 14 don’t come back »a ouvert le bal, to pose the question of the galloping professionalism of this sport coupled with a phenomenon of metropolisation not les petits villages font les frais.
Rugby of terroir and rugby of grandes villes
« Il ya deux rugbys à l’heure actuelle: celui qui vous fait rêver, celui de l’argent, celui du Top 14. Mais il ya aussi le rugby pauvre des petites villes qui est encore plus appauvri par les plus gros club »I thought the ancien joueur et entraîneur Henry Broncan. « The already des club amateurs qui continuent de disparaître », alerte-t-il. This is confirmed by Gilles Bertrandias, president of the club de la ville de Marmande « the rugby of the metropolis at pris le pas sur celui des villes moyennes ». “Toutes nos stars sont passées par nos petits village, c’est là qu’ils ont emerge, on a besoin que chacun se respecte pour œuvrer ensemble à promouvoir notre sport”together with the president of the club, created in 1911 and crowned champion of France pending the 1984-1985 season.
Alors, comment faire pour que les petits clubs survive? « On mutualise et on regroupe les petites communes du bassin marmandais, cela permet d’avoir un vrai parcours de développement pour les jeunes »explains M. Bertrandias, who judges per autant that senior teams and rugby schools doivent être keep villages by villages to maintain a « rugby clock ».
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