Jour après jour, les villes d’Amérique du Nord dispute the first place des métropoles les plus polluées au monde. Friday 30 June, Montréal (Québec), Toronto (Ontario), the most populous city in Canada, and the American megapolis of New York are on the podium of the most unbreathable cities, according to the international barometer IQAir, with indexes placed between 129 and 157 , when this quality is considered as “mauvaise” by 51.
Les fumées des quelque 497 feux de forêt toujours actifs à travers tout le territoire canadien le 30 juin, dont près de la moitié restent « control hours » notamment dans le nord-est de l’Ontario et du Québec, ont gagné tout le continent nord-américain.
Des alertes au smog ont été émises aux Etats-Unis dans une quinzaine d’Etats, dont l’Iowa, le Wisconsin, le Michigan, le Kansas o le Pennsylvania. In total, more than 80 million Americans are affected by this Mauvaise air quality. Et la situación s’est egalement de nouveau dégradée dans le sud du Canada cette fin de semaine, sans toutefois atteindre les records de pollution historiques observés les 24 et 25 juin.
From Québec to Pittsburgh (Pennsylvanie), from Val-d’Or, a small town of 20,000 inhabitants in northeastern Canada before the brûle encore forest, to Chicago (Illinois), over a thousand kilometers away, the same haunâtre mist dulls the atmosphere is brouille les repères urbains, the same air irritates the throat and pique les yeux. In the student district of Montréal, a group of young people take more selfies, avec en arrière-plan le soleil réduit à un neau incandescent. « Su se fait des photos of the end of the world »lâchent-ils, en réajustant leur masque de papier sur le visage.
Pas d’aflux de patients à l’hôpital
«Au delà des mesures traditionalnelles des polluants comme l’ozone ou le dioxyde d’azote, we carefully monitor the teneur en particules fines de l’airexplains Peter Kimbell, météorologist à Environnement et changement climatique Canada. These are the most volatile and most susceptible to infiltration into our bodies. » When the concentration of these tiny particles exceeds 35 micrograms per cubic meter, the air quality is judged “mauvaise”. On June 25, in Montreal, it reached a record of 500 micrograms per cubic meter. Ce sont les vents du nord, currently dominant south of Canada, which poussent the immense shivers of smoke towards the south of the continent.
« These fine particles, let’s say “PM2.5”, cannot penetrate three depths into poumons and appail sanguine, detail David Kaiser, doctor at the regional directorate of public health of Montreal. Elles ont donc des impacts on all the respiratory system and on the cardiac functionnement, notamment auprès des personnes déjà vulnérables, such as asthmatics, people âgées et les femmes enceintes. »
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