Nayib Bukele a gagné la guerre. The Salvadoran president said and repeated it on Twitter: Nous ne sommes plus les memes. » Four years of “bukélisme” have changed the face of Salvador, and the 6.6 million inhabitants the adorent, the idolâtrent meme. Car il a réussi là où tous les autres avaient échoué: vaincre les bands, des gangs qui ont ensanglanté le pays – et la région centraméricaine – pendant plus deux décennies. Every day or day, Nayib Bukele tweeted for six 5.2 million subscribers: «Encore a day with zero homicides. » Un verta qui a undeniable impact, alors que, sept ans plus tôt, on pouvait déplorer presque vingt assassinats par jour.
Il suffit de se promener dans les rues de San Salvador, the capital, pour mesurer l’évolution. Des enfants jouent au foot sur une place. A couple s’apprête à light a verre en terrasse. A woman goes to visit a friend. Des cènes de la vie quotidienne il seulement deux ans unthinkable, so many gangs semaient la terreur, racketeering the commerces, contrôlaient entrées et les sorties des quartiers, menacaient leurs inhabitants, interdisaiente même les marques de baskets portées par le gang rival.
The fluctuating date is March 27, 2022. This day, after a particularly deadly weekend (87 murders) which met with a bad political sign of crime reduction, the president declared war on gangs, under the applaudissements of a population outdated. Il décrète l’état d’urgence – toujours en vigueur aujourd’hui –, déploie l’armée dans les rues, fait encercler des villes entières pour en extirper les membres des gangs (les gang members) et jeter 70,000 people in prison (1.6% of the population is desormais sous les verrous, il più fort taux d’incarcération au monde). An et trois mois plus tard, I found it est sans appel. Online investigative media The lighthouse l’a vérifié en parcourant quatorze villes qui étaient auparavant sous la coupe des groupes criminals: « Les gangs n’existent plus sous la forme dont le Salvador en a souffert. »
Nayib Bukele, bientôt 42 years old, is retiring. This meme The lighthouse n’a-t-il pas vilipendé sa stratégie against them gang members ? La communauté internationale ne l’a-t-elle pas exhorté à respecter les droits des détenus? « Que toutes les NGOs de “droits humains” sachent que nous allons en finir avec ces maudits assassins et leurs collaborators, nous les mettrons en prison et ils n’en sortiront jamais plus », at-il encore tweeted, rageur, le 17 mai, après l’assassinat d’un policier. There are tweets from him, hundreds of replies from ministers, deputies, officials, journalists proches du pouvoir, influencers, décidés à applaudir, voire à porter aux nues le président le plus aimé du continent américain (92% popularity selon une CID Gallup study).
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